Les créatures de Jeanne Vicerial sont loin d’être celles de Frankenstein. Pourtant, l’artiste tisse ses sculptures grâce à une technique qu’elle a inventée : le tricotissage, qui s’inspire des tissus musculaires et vient ensuite coudre le fil avec une aiguille semblable à celle utilisée pour les points de suture. À sa manière, l’artiste donne bel et bien un souffle de vie, une âme à ses sculptures dotées d’une curieuse étrangeté – questionnant les notions de transmission et de mutation dans sa nouvelle exposition
Nymphose (l’état qui précède la métamorphose).
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